dimanche 13 décembre 2009

C’est Malika Ménard, Miss Normandie, qui a été élue Miss France 2010 samedi 5 décembre 2009. Sa deuxième dauphine est Miss Rhône Alpes.

Elle était donnéhttp://d.yimg.com/a/p/ap/20091205/capt.90d9f5af756a4de983a8371e5ec88f12.france_miss_cir106.jpge grande favorite sur le net depuis ces derniers jours, elle figurait parmi nos chouchoutes , et elle a été élue ! La nouvelle Miss France 2010 est Miss Normandie. Peu à peu, la jolie brune aux yeux bleus a franchi toutes les étapes sachant conquérir le cœur du jury et du public, car, rappelons-le ce sont les téléspectateurs qui, au final, ont choisi de l’élire parmi les 5 dernières finalistes pour nous représenter tout au long de l’année 2010.

Gracieuse, élégante, naturelle, elle était très émue sur le plateau de l’élection, tremblotant légèrement lors des défilés en maillot de bain, parlant trop vite lors de sa présentation, crochant sur le mot Miss disant Muss au moment où elle a expliqué pourquoi il fallait la choisir elle et pas une autre . Mais tout ceci participe à son charme. Elle a l’air douce et fragile. Elle, Miss Normandie, Miss France 2010 c’est donc Malika Ménard.

Ce que l’on sait d’elle c’est qu’elle est originaire de Caen et qu’elle a été élue à Bayeux. Elle est actuellement en troisième année de droit et aspire à devenir journaliste. Elle mesure 1m76 et son principal défaut serait la timidité. Une timidité bien touchante qui fait son charme.

Malika Ménard, Miss Normandie, a été élue samedi 5 décembre 2009 Miss France 2010 et succède ainsi à Chloé Mortaud , Miss France 2009. Voici tout ce qu’il faut savoir sur la belle :

Son élection en images : Malkia Ménard n’oubliera jamais cette soirée magique au terme de laquelle elle a décroché la couronne de Miss France 2010. Du suspense, de l’émotion, son charme a su conquérir le cœur du public et du jury pour, au final, lui permettre de remporter le titre suprême. Revivez ces moments exceptionnels !

Aussi belle en robe qu’en bikini : qui dit France, dit jolie fille et c’est vrai que Malika, grande brune aux yeux bleus, a un physique à en faire baver de jalousie plus d’une. Que ce soit en robe de soirée ou en bikini, elle est toujours magnifique.

La fierté de son papa : pas de scandales en vue pour Malika Ménard. C’est une jeune fille "sage et discrète" qui ne devrait pas donner de fil à retordre à Geneviève de Fontenay. Son papa, Gilles, est notamment très fière de sa progéniture car, depuis qu’elle a décroché le titre, Malika a su garder les pieds sur terre et rester fidèle à elle-même.

"Le symbole de la tolérance" : Malika, voilà un prénom qui ne sonne pas très normand, mais, il ne faut pas se fier aux apparences. Miss France 2010 n’a aucune origine métissée. Interviewée sur le sujet, elle a déclaré : "Je suis 100 % française, je suis surtout le symbole de la tolérance avec des parents qui trouvaient le prénom joli. Il n'y a pas d'origine, c'est un symbole d'ouverture d'esprit. "

Un vague air de ressemblance avec les soeurs Hilton : Elle n’est peut-être pas blonde comme Paris et n’a pas exactement les traits de Nicky, mais, quand on y regarde de plus près, entre sa silhouette longiligne et la forme de son visage, oui, elle a quelque chose en elle des sœurs Hilton .

Johnny Hallyday en coma artificiel

Zones d'ombre autour de la santé de Johnny Hallyday
Johnny Hallyday a-t-il été bien opéré ? Le chanteur, âgé de 66 ans, devait-il entreprendre un long voyage en avion trois jours seulement après sa sortie de la clinique ? Quel est son état de santé aujourd'hui ? Les incertitudes demeurent, jeudi, alors que le rocker est admis depuis le début de la semaine au Cedars-Sinai Hospital de Beverley Hills à Los Angeles (Californie).
Une hospitalisation en urgence qui intervient dix jours seulement après sa sortie de la clinique internationale du Parc Monceau à Paris, où il avait été opéré par le docteur Stéphane Delajoux, le 26 novembre.
D'après les informations recueillies par Le Point, le chanteur a subi dans cet établissement chic de la capitale une intervention chirurgicale pour une hernie discale située au niveau lombaire. Son hospitalisation n'aura duré que deux jours.
Dans un premier temps, l'entourage de Johnny Hallyday, cité par l'Agence France Presse, assurait que le chanteur avait pris l'avion pour Los Angeles le 1er décembre "contre l'avis de ses médecins." Huit heures plus tard, Jean-Claude Camus, le producteur du rocker, rectifiait le tir en assurant que l'artiste avait eu "un feu vert pour prendre l'avion."

Opérations en série

L'intervention parisienne de Johnny Hallyday était prévue de longue date. Le 28 octobre, le chanteur s'en expliquait dans les colonnes du quotidien suisse Le Matin : "En ce moment, je souffre un peu à cause d'une hernie discale. On me fait des piqûres de Voltarène. Je vais me faire opérer le 25 novembre. Une matinée et on n'en parle plus."
Le rocker le plus célèbre de l'Hexagone précisait alors que ce n'était pas la première fois qu'il subissait ce type d'opération. "Je l'avais fait juste avant le tournage du film de Johnny To. Deux jours après, je sautais du deuxième étage", s'amusait-il. Information confirmée au Point par le pdg de la clinique du Parc Monceau, Stéphane Liévain. L'intervention avait déjà été pratiquée par le docteur Delajoux.

Une quinzaine d'années plus tôt, Johnny avait déjà été opéré du dos une première fois.

Communication hâtive

Le chanteur a été réopéré dans la nuit de mercredi à jeudi à Los Angeles pour "des lésions résultant de l'opération du 26 novembre à Paris", selon ses proches. En clair, Johnny Hallyday est aujourd'hui victime d'une infection du "site" opératoire, directement liée à l'opération subie dans la clinique parisienne. Il s'agit d'une infection dite "nosocomiale", c'est-à-dire qui était absente lors de son admission à l'hôpital et qui s'est déclarée pendant le séjour ou dans les jours suivants celui-ci, selon la définition du Conseil supérieur d'hygiène publique de France.
Cette infection peut être bénigne et superficielle, ou grave. À ce stade, rien ne permet de trancher et surtout pas la communication organisée par Jean-Claude Camus. "Les nouvelles de l'état de santé de Johnny Hallyday sont rassurantes : il réagit de façon satisfaisante aux antibiotiques, l'infection est endiguée", assurait mercredi un communiqué du producteur. Quelques heures plus tard pourtant, le chanteur était réopéré. À la clé, des nouvelles moins optimistes de son producteur : "À la faveur de l'hospitalisation de Johnny Hallyday, il a été constaté par les médecins de l'hôpital Cedars-Sinai de Los Angeles des lésions résultantes de l'opération qu'il a subie le 26 novembre à Paris et qui ont nécessité une opération réparatrice la nuit dernière. La situation en l'état est sous contrôle."

"J'aurais formellement déconseillé d'effectuer un tel vol"

Ni Jean-Claude Camus, ni le docteur Stéphane Delajoux n'ont accepté de répondre à nos questions. Une chose est certaine : après une intervention chirurgicale pour hernie discale, la prudence impose d'observer une période de repos. "Après une telle opération, j'aurais formellement déconseillé d'effectuer, aussi rapidement, un vol aérien de douze heures en position assise, nous explique le docteur Gilles Robert, chef de service de neurochirurgie à la fondation Rothschild à Paris. C'est un avis unanimement partagé par les spécialistes de cette pathologie. Mais si le malade n'écoute pas les recommandations des médecins..."
Alors, que risque Johnny ? "Après une intervention comme celle-là, poursuit le docteur Robert, on rencontre deux types de complications infectieuses : une première, redoutable, la spondylodiscite [une infection profonde, au niveau des disques intervertébraux] mais elle ne se déclare pas, habituellement, aussi vite. Elle se soigne, en général par six mois d'antibiotiques et le port d'un corset. La deuxième est beaucoup plus bénigne : quelques jours après l'opération, la cicatrice suppure un peu." Généralement, une telle infection, superficielle, est guérie sous traitement antibiotique simple mais parfois elle nécessite un petit nettoyage chirurgical local. "Mais ce type de complication bénigne n'entraîne habituellement aucune fièvre", ajoute Gilles Robert. Or le producteur de Johnny Hallyday reconnaît que la star est "fiévreuse".
Le moins qu'on puisse dire, faute d'informations précises de Jean-Claude Camus ou de son chirurgien, c'est qu'il est encore très difficile de bâtir un pronostic sur la maladie de notre rocker national.

Le controversé docteur Delajoux

Si peu d'informations circulent sur les conditions de l'intervention, le neurochirugien Stéphane Delajoux qui l'a pratiquée est un praticien connu du tout-Paris qui a connu son baptême médiatique durant l'été 2003. Il avait alors été envoyé par la famille de Marie Trintignant à Vilnius (Lituanie) pour tenter une opération de la dernière chance sur l'actrice qui était mourante.
En septembre 2007, toujours à la clinique internationale du Parc Monceau, Stéphane Delajoux a également opéré la comédienne Charlotte Gainsbourg, victime d'un hématome cérébral.
Si certains le présentent comme un habile opérateur, c'est aussi un praticien controversé qui fut suspendu six mois par l'Ordre des médecins pour escroquerie aux assurances, et a essuyé un blâme pour "un comportement fautif" lors d'une intervention.

GRANDE-BRETAGNE La "confession" de Tony Blair relance la polémique sur la guerre en Irak

La En révélant qu'il aurait engagé le Royaume-Uni dans la guerre en Irak même s'il avait su que Bagdad n'avait pas d'armes de destruction massive, Tony Blair a relancé la polémique. C'est lors d'une émission religieuse, dimanche matin sur la BBC , qu'est tombée "la confession", comme l'appelle la presse britannique. Invité à dire s'il aurait engagé son pays dans la guerre même si l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein n'avait pas disposé d'armes de destruction massive, Tony Blair a lâché : "j'aurais continué à penser qu'il était juste de le renverser". "Évidemment, nous aurions employé et développé des arguments différents quant à la nature de la menace", a ajouté l'ancien chef du gouvernement en poste de 1997 à 2007.

En mars 2003, Tony Blair avait engagé son pays dans la guerre en Irak, en affirmant que Saddam Hussein disposait d'armes de destruction massive qu'il pouvait déployer "en 45 minutes". Aucune arme de ce type n'a été trouvée et il s'est avéré que la mention des "45 minutes", malgré une source douteuse, avait été ajoutée in extremis afin de "muscler" un rapport des services de renseignement britanniques. Un sondage de mars 2003 avait montré que 74 % des Britanniques soutenaient une invasion, mais seulement avec le feu vert de l'ONU et à la condition que la présence d'armes de destruction massive soit prouvée. Sans ces conditions, la proportion tombait à 26 %.

"Cette guerre a été vendue avec l'aide des armes de destruction massive", a rappelé Hans Blix, qui dirigeait avant l'invasion de 2003 l'équipe d'enquêteurs recherchant des traces d'armes de destruction massive. "Et maintenant, on a l'impression, ou on entend, qu'il ne s'agissait que d'une question d'arguments, comme il dit. Tout cela a l'air un peu d'une feuille de vigne : si elle n'avait pas été là, ils auraient tout simplement essayé d'en trouver une autre", a-t-il déclaré sur la BBC.

L'ex-avocat de Saddam Hussein veut poursuivre Blair

La déclaration de Tony Blair est "l'aveu le plus clair que les fameuses armes étaient en effet un prétexte", écrit le Sunday Telegraph , estimant que cela va "changer la donne" de l'enquête sur l'Irak" dont les audiences publiques se tiennent à Londres depuis plusieurs semaines. La commission se penche sur les raisons qui ont poussé à l'engagement controversé en Irak. Tony Blair y sera entendu, probablement en janvier, et son audition sera "en grande partie" publique, a indiqué un porte-parole de l'enquête. La commission, qui remettra son rapport fin 2010 au plus tôt, n'est pas un procès mais cela n'empêche pas la coalition "Stop the War" d'exiger des "poursuites judiciaires" contre Tony Blair "s'il réitère cet aveu de crimes de guerre devant l'enquête". Les déclarations de Tony Blair pourraient en effet l'exposer à des "difficultés judiciaires", croit le professeur de droit international Philippe Sands, interviewé par le Sunday Herald .

Déjà, l'ancien avocat de Saddam Hussein demande des poursuites pour guerre "illégale". Giovanni di Stefano, l'actuel conseil italien de l'ancien ministre irakien des Affaires étrangères Tarek Aziz, a adressé à l'Attorney General, principal conseiller juridique du gouvernement britannique, une "demande de consentement pour poursuivre" Tony Blair. Tony Blair a "enfreint la Convention de Genève de 1957" en engageant son pays dans une guerre "non justifiée par une nécessité militaire et menée de manière illégale et gratuite", estime Me Di Stefano dans la lettre. Les déclarations de Tony Blair à la BBC "confirment que la véritable motivation pour attaquer l'Irak était d'en changer le régime et non pas ce que (Tony Blair) a déclaré à l'électorat britannique, le Parlement et les médias en 2003", estime Me Di Stefano.